Classe | A | |
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Race | Humain | |
Arme | ||
Recrutement | Pacte de vérité |
Métiers et compétences[]
Objets requis pour le métier 2 | |
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Pousse sérénité (X15) | Corde Terra (X15) |
Larme de lune (X3) | 8000 Po |
Objets requis pour le métier 3 | |
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Fleur de sagesse (X15) | Corde Terra (X15) |
Particule folklo (X3) | 16000 Po |
Histoire[]
Un dresseur de chevaux réputé[]
Harold gagne sa vie en tant que dresseur de chevaux. Son âge est inconnu.
Il réside dans une ville frontalière à une certaine distance de la capitale impériale.
Il affirme qu'entre ses mains, le cheval le plus sauvage peut devenir aussi docile qu'un agneau - un défi ouvert qui l'aide à s'intégrer dans le monde des affaires.
La capitale grouille de profiteurs qui possèdent trop d'argent et trop de temps libre. Ayant eu vent de la réputation d'Harold, ils lui apportent des chevaux sauvages juste pour le plaisir.
Mais simplement leur prouver qu'il peut dresser ces chevaux n'est pas un défi, ainsi Harold leur apprend un truc ou deux trucs sur place avant de les renvoyer à leurs maîtres.
Les profiteurs s'amusent ensuite à lui jeter quelques pièces pour sa peine avant de reprendre leur chemin.
Un nouveau défi à relever[]
Un jour, une millionnaire de l'ouest s'est présenté à Harold avec un étalon sauvage et une nouvelle proposition.
Juste dresser un cheval sauvage n'a rien d'excitant, disait-elle. Si Harold était capable de transformer l'animal jusqu'à le rendre méconnaissable, cependant, elle serait capable de doubler sa valeur.
Harold a facilement accepté. Il avait décidé de recourir à une technique qu'il avait longtemps mis de côté.
En sortant son arc, il commença par gratter une marche imposante qui balaya la zone avec une force semblable à celle d'un raz de marée. Avec un regard fixe reflétant une concentration extrême, il exprima un ordre, sans prononcer un seul mot.
En "entendant" cet ordre, l'étalon s'était mis à trembler comme s'il avait été frappé par la foudre. L'instant d'après, il baissa la tête, avec révérence, dans la direction de Harold avec toute l'élégance et l'assurance d'un cheval impérial formé pour parader devant la Cour royale.
De retour au domaine de son maître, l'étalon a gagné une grande renommée pour sa dignité et sa grâce. A un point tel, que l'on dit que la famille royale l'a choisi personnellement pour leurs écuries impériales.
Un accro du shopping[]
Dans une ville qui se vante peu en manière de divertissements, la source de relaxation de Harold est le shopping. S'habiller lui a toujours changé les esprits.
Sa boutique préférée fait principalement le commerce de marchandises d'occasions provenant de la capitale. Bien qu'étant dans un état secondaire, ces biens ont su conserver pleinement leur saveur exotique et leur charme.
Un jour, le propriétaire de la boutique avait approché Harold avec une recommandation. Au début, Harold avait été un peu hésitant, car c'était la première fois que le vieil homme vienne lui parler. Cependant, une fois que ses yeux se sont fixé sur la marchandise qui lui avait été présenté, toutes ses autres pensées furent dispersées.
C'est de cette façon que Harold a trouvé l'appareil qu'il utilise aujourd'hui.
Il n'a aucun souvenir de son retour à la maison. Il semblerait qu'il a été trop captivé par sa nouvelle acquisition, au point de n'avoir fait attention à rien d'autre.
Ra'prow et Harold : un "style" en commun[]
"Ya pas moyen! Tu as fait tes courses là bas aussi?!" dit Ra'prow, en lorgnant l'équipement d'Harold.
La conception de leurs vêtements indiquait le partage d'un style particulier. Ra'prow parla fébrilement, extasié de trouver quelqu'un ayant des goûts similaires.
"Le vieil homme qui gère l'endroit est un peu loufoque, cependant, c'était bien lui, n'est-ce pas? Il recommande toutes sortes de trucs bizarres, tu le savais?"
Tout en se rapprochant, Ra'prow désigna de manière pompeuse ses écouteurs sur sa tête, qui beugla de la musique assourdissante comme d'habitude.
"En fait," murmura-t'il avec un air de conspiration, "j'ai eu ceci dans cette boutique!"
Le vieux commerçant avait apparemment dit quelque chose de bizarre à l'époque - quelque chose comme: «Comment l'aimeriez vous?" Mais Ra'prow ne se rappela pas de ce qui avait suivi. Il semblerait qu'il avait été tellement séduit par ses nouveaux écouteurs que le reste de la conversation était sorti de sa tête.
Harold et Olber : des officiers royaux et des camarades[]
«J'en suis enfin persuadé, Harold." Plissant les yeux au loin, Olber regarda au loin "Ou devrais-je dire, Harold IV, capitaine de la cavalerie royale de la division musicale".
Harold n'a pas bronché.
"Si je me souviens bien," Olber poursuivi, "vous avez mentionné avoir de la famille qui est revenu s'installer à la campagne?"
«Je suis impressionné que vous vous souvenez aussi bien, Capitaine Olber."
Harold et Olber avaient autrefois servi le même roi en tant qu'officiers royaux. Mais Harold avait abandonné cette position et était retourné vivre dans sa ville natale.
"Si la fin du monde a lieu ici, que devrais-je protéger? Je m'étais posé cette question et pour ensuite faire ce que je dois faire. Rien de plus."
Tout en roulant une sorte de feuille de tabac pendant qu'il parlait, Harold l'alluma et l'offrit à Olber. Olber la refusa, piqué au vif par ces paroles. Harold avait réussi là où il avait échoué. Il était un héros.
Harold a ressenti son humeur immédiatement et secoua la tête avec négation.
«Je suis un perdant. Vous avez servi votre suzerain avec loyauté, jusqu'à la fin. Vous êtes un homme dont il faut faire l'éloge. Et moi, d'un autre côté? Je suis un bouc émissaire, un imbécile déloyal lâché par son roi. Ma famille est partie, dispersée. J'ai également échoué à les protéger, voyez-vous? Courage! Vous êtes le meilleur homme. "
Les deux hommes avaient évidemment plus en commun qu'un simple roi. Ils se tenaient là, en silence pour quelque temps ensemble, perdu dans les souvenirs de leur foyer.